1825
RESTAURATION
marquis de Dreux Brézé
qui écrit au Comte Portalis
DESCRIPTION
ANNEE 1825
FORMAT A4µ
FEUILLE DOUBLE
LETTRE COMPLETE ET SIGNEE SUR UNE PAGE
MANQUE DE PAPIER SUR LA PAGE SANS TEXTE
LETTRE ECRITE A LA LUZARDIERE MONT ST JEAN (Sarthe) (Chateau qui a fait partie du patrimoine de la Famille Dreux Brézé)
MARQUE POSTALE 71 FRENAY (Frenay sur Sarthe)
CACHET DE CIRE AUX ARMES DE LA FAMILLE DE DREUX
DOCUMENT EN BONNE CONDITION ET TRES FRAIS
LETTRE ADRESSEE A Monsieur le Comte de Portalis Pair de France Cnseiller d’État Présidnet à la Cour de Cassatioon
Place Royale Paris-Brest
EMINENT JURISTE VOIR HISTORIQUE
AFFAIRE FAMILIALE SOUMISE POUR AVIS ?? AU COMTE DE PORTALIS
REPONSE EN REMERCIEMENT
TRES BEAU TEXTE
VRAISEMBLABLEMENT SIGNATURE DE Henri-Évrard de Dreux-Brézé (5° marquis de Dreux Brézé
VOIR SCANS
VOIR HISTORIQUE
1/ SUR LE MARQUIS DE DREUX BREZE
2/ SUR LE COMTE DE PORTALIS
HISTORIQUE
1/ SUR LE MARQUI DE DREUX BREZE
SOURCES WIKIPEDIA
Henri-Évrard de Dreux-Brézé (1762-1829), 5e marquis de Dreux-Brézé, grand maître des cérémonies de France à la fin de l'Ancien Régime et sous la Restauration, marié en 1790 avec Adélaïde de Custine
Scipion de Dreux-Brézé (1793-1845), 6e marquis de Dreux-Brézé, pair de France et grand maître des cérémonies de France, marié en 1820 avec Henriette de Montault
Emmanuel de Dreux-Brézé (1797-1848), 7e marquis de Dreux-Brézé, capitaine, marié le 15 juin 1824 avec Marie-Charlotte de Boisgelin
https://ginoux.community/les-familles/les-ginoux/les-ginoux-de-mollans-sur-ouveze/anne-marie-ginoux-defermon-therouanne-1868-1952/
BLASON DE CETTE FAMILLE
sa famille « Dreux-Brézé » est une famille subsistante de la noblesse française, originaire du Poitou, et implantée à Paris dès la fin du XVIIe siècle. Leur devise familiale est : « Fais ce que dois, advienne que pourra »
2/ HISTORIQUE SUR
LE COMTE PORTALIS
Joseph Marie Portalis, 1er comte Portalis (19 février 1778 à Aix-en-Provence - 5 août 1858 à Passy (Seine), est un magistrat, diplomate et homme politique français.
SOURCES
wikipedia
Extrait avant sa nomination en qualité de garde des sceaux
Grand officier de la Légion d'honneur le 1er mai 1821, et chargé par intérim, le 18 juillet suivant, du portefeuille du département de la Justice pendant l'absence du garde des sceaux, il fut nommé président de chambre en la Cour de cassation le 6 août 1824.
Dans un rapport à la Chambre des pairs, en 1825, il révéla qu'un jacobin d'Ancenis, convoitant les propriétés de l'hôpital de Nantes, avait fait inscrire l'hôpital sur la liste des émigrés. Le 18 janvier 1827, Portalis fit à la Chambre des pairs son fameux rapport sur la pétition de Montlosier contre la légalité de l'existence des jésuites en France.
Promu garde des sceaux le 4 janvier 1828, lors de la constitution du cabinet Martignac, il attacha son nom à plusieurs mesures importantes, par exemple à celle qui abrogeait la censure et à celle qui réprimait les fraudes électorales. Il échangea, le 14 mai 1829, le portefeuille de la Justice pour celui des Affaires étrangères, laissé vacant par Anne Adrien Pierre de Montmorency-Laval, et qu'il garda jusqu'au 7 août suivant, à l'avènement du ministère Polignac.
En quittant le pouvoir, il se réserva d'ailleurs la place de Premier président de la Cour de cassation et de membre du conseil privé.